adieu à victoria
La nuit n’est jamais complète
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin, une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler, faim à satisfaire,
Un coeur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
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Paul ELUARD
Merci à Guillaume, ami de Victoria, d'avoir lu ce poème lors de la cérémonie d'adieu à Victoria.